Les 2nde “Tous en mouvement”
https://www.lekreisker.fr/wp-content/uploads/2025/12/NDK-Semaine-anti-harcelement.jpg 940 788 Ensemble scolaire Le Kreisker Ensemble scolaire Le Kreisker https://www.lekreisker.fr/wp-content/uploads/2025/12/NDK-Semaine-anti-harcelement.jpgLa semaine dernière, 320 lycéens ont dansé pour dire “stop” au harcèlement et aux violences faites aux femmes.
Comment aborder le harcèlement, les discriminations et les violences faites aux femmes ? Au lycée, la réponse est venue de la danse. Sous l’impulsion d’une équipe enseignante, le projet « Tous en mouvement » a permis aux élèves de seconde de s’exprimer en montant des chorégraphies avec la compagnie Kivuko. L’idée a germé en juin 2025. Katell Guivarch, directrice adjointe du lycée, Maïe Queinnec, professeur de français férue de danse, les membres de l’équipe EPS et les professeurs principaux de seconde ont imaginé un temps fort autour des thèmes du harcèlement et des violences faites aux femmes dont les journées marquent le mois de novembre, et, plus largement, sur la relation aux autres, l’égalité homme-femme, les discriminations… Le moyen retenu est la danse, comme moyen d’expression mais aussi comme moyen de solution. « On ne doit pas seulement dénoncer, mettre en lumière. La danse, les chorégraphies doivent apporter des solutions », souligne un professeur d’EPS.
L’aide de quatre chorégraphes. Nicolas Guillou, directeur, a tout de suite validé ce projet nommé « Tous en mouvement. Danse le respect ». Il est né du dynamisme et des idées novatrices de l’équipe enseignante. Ainsi, la semaine du 24 au 28 novembre a été banalisée. Quatre chorégraphes professionnels de la compagnie Kivuko, de Plourin-lès-Morlaix, sont intervenus. Les dix classes de seconde générale, technologique et professionnelle ont bénéficié de trois demi-journées pour mettre en place leur chorégraphie sous la direction des artistes professionnels. Elles ont été présentées ce vendredi sur les planches du Théâtre Sainte-Thérèse.
Jeudi, les élèves ont participé à la marche organisée dans le cadre de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Les thèmes avaient été abordés en amont, en classe, grâce à un jeu de cartes autour du « Dixit », afin de faciliter la parole. En prolongement, des ateliers seront menés dans l’établissement par la gendarmerie.























































